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L’Armure du Rider Le Système 3 Couches pour Dompter l’Hiver en VTT

Quand la Passion Défie le Thermomètre – Mon Histoire

Salut à toi, ami(e) endurigidiste !

Regarde dehors. Le ciel est plombé, la pluie frappe la fenêtre, et la seule vue de ton VTT maculé de boue de la semaine dernière te donnerait envie de t’enrouler dans un plaid. Oui, je suis passé par là. L’hiver arrive et, avec lui, la grande question : faut-il hiberner ?

Si, comme moi, tu as déjà tenté de rouler en VTT par 5 degrés avec des gants d’été et un coupe-vent de pacotille, tu connais la sanction. Laisse-moi te raconter ma pire expérience. C’était il y a des années, une sortie de novembre où l’ambiance était incroyable, mais où j’étais mal équipé. J’ai fini la descente avec les mains tellement engourdies que, lorsque j’ai voulu saisir ma gourde, mes doigts n’obéissaient plus. J’ai dû m’arrêter pendant deux minutes avant de pouvoir reprendre le contrôle de mes mains. C’était ridicule, douloureux, et ça m’a fait jurer que plus jamais je ne ferais l’erreur de sous-estimer le froid, la boue et la pluie.

Saracen-Mantra-03-51ad393-1024x683 L'Armure du Rider Le Système 3 Couches pour Dompter l'Hiver en VTT

C’est là que j’ai compris mon erreur classique de débutant : je croyais que l’hiver était une punition, que l’équipement parfait était réservé a une élite, et surtout, je m’habillais comme pour aller chercher le pain.

Mais, laisse-moi te dire mon secret : l’hiver est la meilleure saison pour rouler. Pourquoi ? Parce que c’est la saison des pistes vides, de la lumière douce, et du kiff brut que seuls les plus téméraires connaissent. Et la bonne nouvelle, c’est qu’avec un équipement adéquate et une bonne stratégie, je peux t’assurer que tu peux rouler au chaud, au sec, et prendre un plaisir fou, sans avoir besoin de vider ton compte en banque.

L’unique secret du VTT en hiver : ne pas accumuler, mais superposer. Adoptez le « système des trois couches » modulables, et bannissez le coton.


L’effort intense et variable du VTT (montées chaudes, descentes glaciales) rend le gros pull en coton inefficace et dangereux, car il s’imbibe de transpiration et refroidit brutalement le corps.

La solution est l’armure technique en trois parties, gérant l’humidité et la chaleur :

  1. Le Socle (Base) : Évacue la transpiration pour rester sec.
  2. L’Isolation (Intermédiaire) : Retient la chaleur. C’est votre réacteur thermique.
  3. La Carapace (Externe) : Protège du vent et de l’eau. Votre bouclier high-tech.
How-to-dress-in-layer-FR-1024x431 L'Armure du Rider Le Système 3 Couches pour Dompter l'Hiver en VTT

Ce système vous permet d’ajuster votre tenue en temps réel, garantissant confort, sécurité et de ne jamais laisser les éléments gâcher votre sortie. Oubliez la stratégie de l’oignon, pensez à celle du super-héros !

Le « Socle » – Le Maillot de Corps Thermique (Ma Fondation Anti-Froid)

C’est la couche la plus importante, celle qui est en contact direct avec ta peau. Je le dis souvent à mes amis : ce n’est pas le froid qui te gèle, c’est l’humidité. Mon maillot de corps n’est pas là pour me réchauffer, mais pour me garder au sec. Quand je suis en pleine montée, mon corps produit une chaleur folle, je transpire. Si cette humidité reste sur ma peau, elle se refroidit instantanément dès que j’arrête de pédaler. C’est l’effet « glacière » garanti.

Pour ma couche de base, j’ai deux options, selon l’intensité et la durée de la sortie. Je considère la Laine Mérinos comme mon choix premium. Elle est incroyablement douce, elle offre une isolation supérieure pour un poids réduit, et surtout, elle a cette capacité magique de continuer à isoler même si elle est un peu humide. C’est également la championne de la gestion des odeurs. C’est un budget, mais il faut le voir comme un investissement sur des années de sorties. Par contre, si je pars pour un effort court, très intense, ou si mon budget est serré, je me tourne vers le synthétique. Les fibres modernes sont hyper efficaces pour transférer l’humidité vers les couches extérieures à une vitesse fulgurante. Le synthétique est un choix pragmatique et performant, même si je dois le mettre directement au lavage après chaque utilisation, car il gère moins bien les odeurs que la laine Mérinos.

L’Isolation – La Couche Intermédiaire (Mon Thermostat Personnel)

C’est ma couche « garde-manger » de chaleur. Elle emprisonne l’air chauffé par mon corps et m’empêche de refroidir. Elle est essentielle, mais elle doit être modulable, car elle sera la première que je voudrai enlever quand mon cardio s’emballera en montée. L’idée est d’avoir quelque chose de facile à ziper, à ouvrir, ou à jeter dans mon sac. J’ai une préférence pour une micro-polaire (Fleece) légère avec un zip intégral, ou un Softshell fin sans membrane. Ces deux options sont légères et offrent un excellent ratio chaleur/poids.

Mon conseil le plus important, tiré de mon expérience personelle, est le suivant : je commence toujours ma sortie en ayant légèrement froid. Si, au moment de monter sur mon vélo, je me sens déjà parfaitement au chaud, je sais que je suis trop habillé. La couche intermédiaire doit être celle que je peux retirer après un quart d’heure d’effort intense. Si je la porte sur mon dos pendant la première heure, c’est que j’ai parfaitement géré mon échauffement et mon équipement.

La Carapace – La Veste (Mon Compromis Anti-Pluie)

C’est la pièce que je choisis avec le plus de soin, car elle est soumise à des exigences contradictoires : elle doit bloquer l’eau et le vent, mais elle doit impérativement laisser s’échapper ma chaleur et ma vapeur corporelle. Je me suis fait avoir tellement de fois par des vestes « imperméables » pas chères qui me transformaient en cocotte-minute ! Je finissais sec de l’extérieur, mais trempé de l’intérieur par ma propre sueur, et donc gelé en descente.

L’urgence est de bloquer le vent. Une bonne veste coupe-vent avec un traitement déperlant (DWR) est mon point de départ recommandé. Elle ne tiendra pas sous un déluge, mais elle me sauve de 90 % de l’humidité et surtout du vent glacial. Avec l’experience que j’ai acquise maintenant et mes nombreuse sorties hivernales, j’ai investi dans une membrane technique de qualité. Je regarde les chiffres : il me faut une colonne d’eau d’au moins 10 000 mm (pour la pluie) et une respirabilité supérieure à 10 000 g/m2/24h (pour la sueur). Plus ces chiffres sont élevés, plus je suis serein, même si le prix s’envole.

Alors, comment décrypter ces chiffres ? Je vous explique en détail la méthode de calcul de la colonne d’eau et de la respirabilité !

La Colonne d’Eau : Mesurer l’Imperméabilité

La colonne d’eau est l’unité de mesure qui vous indique à quel point un tissu est imperméable, c’est-à-dire sa capacité à bloquer l’eau extérieure (pluie, neige).

Comment est-elle calculée ?

Unité} : Millimètres (mm)

  1. Le principe : On place le tissu technique sous un tube transparent gradué (une « colonne »).
  2. L’expérience : On remplit ce tube d’eau. La pression de l’eau augmente au fur et à mesure que la colonne se remplit.
  3. Le résultat : Le chiffre de la colonne d’eau est la hauteur (en millimètres) à laquelle l’eau a pu monter avant que l’eau ne commence à traverser le tissu.

Qu’est-ce que cela signifie en pratique ?

  • 5 000mm : Le minimum acceptable. C’est suffisant pour une petite pluie fine ou une neige légère. Ne tiendra pas sous une averse forte ou une pression (par exemple, si vous vous asseyez sur une surface mouillée).
  • 10 000 mm: Le bon standard pour le VTT. C’est généralement suffisant pour une pluie modérée et prolongée, et pour résister à une pression modérée.
  • 20 000 mm et plus : Excellent. Réservé aux conditions extrêmes (pluies battantes, forte pression, neige lourde). C’est le haut de gamme (souvent Gore-Tex Pro ou équivalent).

Retenez : Plus la colonne d’eau est élevée, plus le tissu résiste à la pénétration de l’eau. Pour le VTT hivernal, visez au moins 10 000 mm.


La Respirabilité : Mesurer la Gestion de la Transpiration

La respirabilité est la capacité du tissu à laisser s’échapper la vapeur d’eau (votre transpiration) produite par votre corps vers l’extérieur. Si elle est mauvaise, l’humidité reste piégée à l’intérieur, et vous êtes mouillé par votre propre sueur.

Comment est-elle calculée ?

Unité : Grammes par mètre carré par 24 heures (g/m2/24h)

  1. Le principe : On place un échantillon du tissu sur un récipient contenant de l’eau (ou un composé qui simule la transpiration).
  2. L’expérience : On mesure la quantité de vapeur d’eau (en grammes) qui traverse un mètre carré (1m2) de ce tissu pendant 24 heures.
  3. Le résultat : Plus le chiffre est élevé, plus le tissu laisse s’échapper la transpiration rapidement.

Qu’est-ce que cela signifie en pratique ?

  • 5 000 g/m2/24h : Faible respirabilité. Adapté pour des activités très calmes (marche lente, usage quotidien). Totalement insuffisant pour le VTT.
  • 10 000 g/m2/24h : Le minimum pour une activité physique intense. C’est le standard pour le VTT et la randonnée active.
  • 20 000 g/m2/24h et plus : Excellente respirabilité. Idéal pour les efforts très intenses où vous transpirez beaucoup (course à pied, ski de randonnée, VTT en mode très rapide). C’est la performance maximale des membranes techniques.

Retenez : Plus le chiffre est élevé, plus vous resterez sec à l’intérieur pendant l’effort. Pour le VTT, visez au moins 10 000g/m2/24h.


Le Bilan : L’Équilibre est la Clé

Un vêtement technique performant pour le VTT doit toujours chercher le meilleur équilibre entre ces deux valeurs :

SituationColonne d’eau (Imperméabilité)Respirabilité (Transpiration)
Pluie fine / Effort intenseMoyenne (10 000 mm)Élevée (15 000 g/m2)
Pluie battante / Effort modéréÉlevée (20 000 mm)Moyenne (10 000 g/m2)

En bref : Ne vous fiez pas seulement à un seul chiffre. Une veste à 20 000 mm qui a seulement 5000 g/m2/24h vous tiendra au sec de la pluie, mais vous serez trempé de l’intérieur par votre propre sueur en montée. C’est le parfait équilibre qui garantit votre confort.

Enfin, je ne jure que par les détails qui sauvent. Les zips de ventilation (Pit Zips) sous les aisselles sont mon arme secrète. Ces fermetures éclair me permettent d’ouvrir une « vanne » pour refroidir mon corps instantanément en pleine montée, sans avoir à m’arrêter et à enlever ma veste. C’est cette petite touche de génie qui justifie le prix. Et pour finir, je vérifie toujours que le bas de ma veste est long pour protéger mes fesses des projections de la roue arrière.


Les Extrémités – Les Maillons Faibles (Mes Zones de Douleur)

En VTT, les premières zones à geler sont les plus éloignées du cœur : les mains et les pieds. Quand elles lâchent, c’est tout mon pilotage qui est compromis, car la douleur prend le dessus sur la concentration.

Mains – Mon Dilemme et l’Astuce du Sous-Gant

Je connais trop bien cette sensation atroce de la « main de zombie », où je ne sens plus mes doigts. C’est dangereux, car freiner devient une lutte. Mon erreur de jeunesse fut d’opter pour un seul gros gant de ski, trop chaud en montée et trop peu précis pour le pilotage (je perdais le feeling des freins).

Ma solution la plus efficace, que j’utilise presque systématiquement en dessous de 8 degrés, est le système « double couche ». Je commence par une paire de sous-gants très fins, souvent en soie ou en Mérinos, qui gèrent l’humidité. Par-dessus, j’enfile mes gants VTT hivernaux imperméables et coupe-vent. L’air emprisonné entre les deux devient mon isolant thermique. Le secret ? Je m’assure toujours que les gants extérieurs sont une taille au-dessus pour ne pas compresser ma main. La compression bloque la circulation sanguine !

En feuilletant quelques astuces de pro, j’ai découvert que certains pilotes optent pour des petits gants en latex sous leur paire de gants habituelle afin de garder leurs doigts toujours au sec. Personnellement, je n’ai encore jamais essayé, mais peut-être que je testerai cet hiver… Et toi, serais-tu prêt à adopter cette astuce ?

Pieds – Mon Secret et l’Isolation

Les pieds sont dans la boue, l’eau, soumis au vent. C’est là que je perds le plus de chaleur. Si mes pieds sont froids, c’est tout mon corps qui le devient. Je commence par le commencement : la chaussette, c’est la vie. J’ai banni les chaussettes de sport classiques et je ne jure que par les chaussettes en Mérinos épaisses, qui montent bien haut pour protéger ma cheville. Elles restent chaudes même si elles sont un peu mouillées.

Depuis quelques années, on trouve des chaussettes imperméables. Pour le moment, je n’ai pas eu l’occasion de tester, mais si un jour l’occasion se présente, pourquoi pas ! D’ailleurs, est-ce que tu connais ce type de produit ? Si oui, n’hésite pas à me laisser un petit commentaire !

Ma solution, plus chère mais si confortable, est ma paire de chaussures spécifiques d’hiver. Elles sont montantes, offrent une protection complète, et grâce à elles, je n’ai plus jamais les pieds trempés. Enfin, pour les jours de déluge, je n’ai pas honte de te confier mon astuce de grand-mère : enfiler un sac en plastique fin (oui, un sac de congélation !) par-dessus ma chaussette avant de mettre ma chaussure. Ça bloque l’eau extérieure et me sauve la mise.

Mais cet hiver, j’ai une nouvelle inconnue, car je suis passé aux pédales automatiques. Je vais donc tenter de rouler avec mes nouvelles Crankbrothers. Seront-elles aussi résistantes aux agressions extérieures de mon hiver breton et de son fameux crachin ? Nous verrons bien ! En tout cas, les quelques tests que j’ai pu effectuer sous la pluie restent concluants, avec une chaussure qui garde bien son imperméabilité. À voir dans les prochaines semaines.

Tête – Mon Bonnet Fin sous le Casque et le Tour de Cou (Mon Régulateur)

Je le sais, on perd une quantité significative de notre chaleur corporelle par la tête. Le casque est aéré, il faut donc boucher les trous ! Je glisse toujours un bonnet fin ou un bandeau technique sous mon casque, en veillant à bien couvrir mes oreilles.

Mais l’arme secrète, celle que j’utilise à chaque sortie hivernale, reste le tour de cou (ou Buff). C’est la pièce la plus polyvalente de ma panoplie. Il protège ma gorge et empêche l’air froid de s’engouffrer dans ma veste. Mieux encore, c’est mon régulateur de température personnel : quand j’ai froid, je le monte sur mon nez pour réchauffer l’air que j’inspire ; quand j’ai chaud en montée, je le baisse autour de mon cou. Je peux ainsi ajuster ma température de manière instantanée et sans m’arrêter.


Le Bas du Corps et le Confort – Le Côté Moins Glamour

Le bas du corps est trop souvent négligé. Pourtant, avoir les jambes au froid ou la selle pleine de boue et de sable peut ruiner ton ride.

Le Pantalon VTT d’Hiver

Le pantalon n’est pas qu’une question de style ; il protège mes genoux et mes cuisses du froid. Ma préférence va au pantalon VTT avec un traitement DWR (Durable Water Repellent). Ce traitement fait perler l’eau à la surface, ce qui me garde au sec même sous une pluie légère. Il doit être coupe-vent et avoir une coupe qui ne gêne pas mon pédalage.

Personnellement, j’ai un petit faible pour Endura, qui conçoit et propose des produits vraiment qualitatifs, avec une très grande résistance aux intempéries et un rapport qualité-prix que je trouve correct. Si tu ne connais pas encore cette référence, je te conseille vraiment de te renseigner sur leurs produits. En Bretagne, beaucoup de mes collègues roulent avec elle, et la grande majorité en est très contente !

Le Garde-Boue (Mon Compagnon Silencieux)

Je le reconnais : le garde-boue est la partie la moins cool de mon équipement, mais la plus efficace pour mon confort. Un petit garde-boue sur ma fourche (mudguard) est non négociable. Il empêche la boue abrasive de remonter directement dans mes yeux et ma bouche.


L’Après-Ride et le Mental – Ma Routine Anti-Déprime

Le secret des riders hivernaux n’est pas l’équipement, mais la routine. J’ai vaincu le froid et la boue. Il ne faut pas gâcher ce moment de gloire en traînant en tenue mouillée.

La Tenue de Rechange (Mon Kit de Survie Imparable)

Je ne fais plus l’erreur de traîner en tenue mouillée après une sortie. Le choc thermique est souvent le plus fort après l’effort. C’est pourquoi j’ai un Kit de Survie toujours prêt dans mon coffre ou mon garage. Il est simple : une paire de chaussettes sèches, un maillot de corps sec (ou une micro-polaire), et un bonnet sec. Le geste le plus important est de changer mes chaussettes immédiatement. C’est le geste qui remonte instantanément mon moral et m’empêche de prendre froid. Avoir un vêtement chaud et sec, même si mon vélo et le reste de ma tenue sont encore dans la boue, rend le processus d’après-ride supportable.

Le Soin de l’Équipement (Lavage, Réimperméabilisation)

Prendre soin de son équipement, c’est prolonger son efficacité. C’est pourquoi je bannis la lessive classique pour mes vestes à membrane et n’utilise que des produits techniques spécifiques, essentiels pour préserver la respirabilité. Personnellement, j’ai une excellente expérience avec NST Wash : c’est un investissement, certes, mais indispensable vu le prix de nos vêtements. J’ai également une routine pour réactiver la déperlance (DWR) de ma veste. Quand le tissu commence à saturer, j’applique un spray spécifique. À ce sujet, le produit proposé par Decathlon offre un rapport qualité-prix surprenant. Ce simple geste prolonge la vie et l’efficacité de votre carapace pour des années.

Le Côté Psychologique (Comment Kiffer la Grisaille)

L’hiver est d’abord un combat psychologique, je ne vais pas te mentir. Pour contrer cette inertie, je prends toujours rendez-vous avec un ou deux amis. C’est la meilleure garantie que je ne pourrai pas faire marche arrière, et la camaraderie rend la boue et la pluie beaucoup plus supportables. Enfin, mon moteur psychologique ultime, c’est la récompense : une petite bière fraîche ou un bon café chaud sont pour moi le Graal après une sortie hivernale. C’est cette pensée qui me fait pédaler plus fort dans la dernière montée glaciale, car je sais que le réconfort sera immédiat et amplement mérité.


Conclusion : Mon Résumé de la Philosophie Hivernale

Si vous avez lu jusqu’ici, vous n’êtes plus un débutant. Vous avez le mental d’un véritable rider, celui qui sait que les meilleurs souvenirs, les plus mémorables, se forgent précisément lorsque les conditions sont rudes.

L’hiver en VTT, ce n’est pas une question de chance ou d’endurance brute, c’est une question de stratégie personnelle audacieuse :

Trois Couches, Zéro Coton, Mains et Pieds au Chaud.

C’est mon secret pour transformer ce qui pourrait être une corvée en un plaisir intense et libérateur. Votre équipement n’est pas qu’une simple panoplie, c’est votre allié le plus précieux. Traitez-le bien, choisissez-le intelligemment en respectant ces principes, et il vous le rendra au centuple en performance et en confort.

Faites-moi confiance : la satisfaction profonde de dévaler une piste boueuse, de sentir la boue gicler sans être frigorifié, et de rentrer chez soi avec l’énergie d’avoir réussi à braver les éléments, c’est l’essence même qui crée les légendes du VTT. Ce sentiment de victoire intime est inestimable.

Alors, la prochaine fois que vous regarderez la pluie ou le froid s’installer, n’hésitez plus. Équipez-vous selon cette stratégie éprouvée, et rejoignez-nous sur les sentiers. L’hiver t’attend. C’est le moment de rouler et d’écrire votre propre légende !

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Crédits photos : Salomon , Allocean,Raidlight

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Je suis Max, le roi auto-proclamé du VTT… et des chutes spectaculaires. Enduro ou downhill (DH), peu importe le terrain, je suis là pour le dompter – ou pour vérifier si les rochers sont vraiment aussi durs qu’ils en ont l’air. Sur ce blog, je partage mes aventures mémorables (parce qu’honnêtement, qui pourrait oublier un vol plané dans une rivière ?), mes astuces pour rouler comme si on savait ce qu'on fait, et mes tests de matos qui ont survécu à mes cascades improbables. Si vous aimez rouler vite, vivre des moments d’adrénaline et rigoler des galères (à distance), vous êtes au bon endroit. Enfilez votre casque… et préparez-vous à rider avec style (ou pas) !

2 comments

comments user
Benjamin

Bon article 👍.
Les chaussettes étanche fonctionnent bien et si elle prennent l’eau tu ne ressent pas le froid, il y a le même effet que dans une combinaison de surf, l’eau se réchauffe dans la chaussette.

    comments user
    max

    Merci pour cet éclairage ! J’ignorais totalement le fonctionnement de ces chaussettes, ce qui m’avait retenu d’explorer en détail leurs spécificités et leur bonne utilisation.

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